Marko (18 ans, Croatie) nous raconte ses « Jeux sans frontières »
24 juin 2009 • Catégorie(s) : Mon JSf à moi : fans et anciens candidats •
« Mon JSf à moi », c’est un coup de projecteur sur les fans de « Jeux sans frontières ».
Marko a 18 ans et vient de Croatie. Il a accepté de nous faire partager ses souvenirs de l’émission.
Vous souhaitez nous raconter vos « Jeux sans frontières », écrivez-nous !
La première fois :
« J’ai découvert l’émission un peu tard, en 1998… Grâce aux différents sites du réseau JSfnet, j’ai pu découvrir les éditions précédentes et j’ai finalement vu beaucoup d’émissions grâce à des échanges avec différents fans.«
Le meilleur souvenir :
« Des souvenirs à proprement parler, j’en ai peu puisque j’étais petit… Mais parmi les émissions que j’ai vues plus tard, je garde tout particulièrement en mémoire celle qui s’est déroulée dans ma ville, Pula [aujourd'hui en Croatie, la ville faisait partie de la Yougoslavie à l'époque, NDLR], en 1981.«
L’émission la plus belle :
« Il y en a beaucoup ! Hormis celle réalisée à Pula en 1981, les émissions que je préfère sont les éliminatoires de 1993 et 1995 en Italie (Villa Manin et Milan). Puis les éliminatoires de 1981 à Charleroi (Belgique) et Belgrade (Yougoslavie). Sans oublier la finale de 1991 à Saint-Vincent (Italie) !«
L’émission qu’il préfère oublier :
« Lors de l’émission éliminatoire enregistrée à Budapest en 1995, je reste persuadé que l’ Italie a perdu pour un seul point à cause d’un sabotage de la part des Hongrois sur un jeu !«
Les « cartons rouges » :
« Je n’aime pas trop la manche tournée en 1982 à Sherborne (Grande-Bretagne) : je trouve que les jeux sont tous un peu les mêmes…«
« Je trouve aussi que lors de la première émission à Figueira da Foz en 1991, l’un des jeux est moins bien que les autres : celui où les concurrents devaient visualiser un tableau de 20 personnes et se rappeller ensuite si c’était un homme ou une femme à l’endroit prévu…«
Les fans français en ont certainement un meilleur souvenir : ce jeu avait été remporté par l’équipe française d’Epernay grâce à la technique de mémorisation que Georges Beller, fort de son expérience d’acteur, avait apprise à Jean-Paul, le concurrent désigné pour réaliser l’épreuve !
Les « chouchous » :
« La Grèce et Malte, parce qu’ils envoyaient à »Jeux sans frontières » des équipes avec peu de professionnels du sport, voire aucun. Même s’ils arrivaient toujours dans les derniers, ils ne perdaient pas cet esprit d’amusement.«
Les Jeux « à la maison », du réel au virtuel :
« Enfant, je faisais avec mes amis des jeux pendant l’été et il y avait des jeux d’eau, d’équilibre… En plus, comme la Croatie ne retransmettait pas « Jeux sans frontières », eux ne connaissaient pas trop les règles…«
« Depuis l’été 2007, je suis le créateur des jeux et l’arbitre des « FantaJSf », des « Jeux sans frontières » virtuels. Cet été, pour la 5ème édition, nous avons un nombre record de candidats (9 participants : 7 Italiens, 1 Français et 1 Grec).«
Un regret ?
De tous les pays issus de l’ex-Yougoslavie, la Slovénie a été la seule à reprendre le flambeau : « Je suis déçu que la Croatie, contrairement à la Slovénie, n’ait pas participé aux dernières éditions…«
Propos recueillis par Julien Dessy.
Mon JSf à moi : fans et anciens candidats > les derniers articles
- Guy, ancien participant belge, raconte ses « Jeux sans frontières »
- Daniel, ancien participant français, raconte ses « Jeux sans frontières »
- Stefania, ancienne membre de l’organisation italienne, raconte ses « Jeux sans frontières »
- François, champion des champions dans les années 1970, raconte ses « Jeux sans frontières » (2ème partie)
- François, champion des champions dans les années 1970, raconte ses « Jeux sans frontières » (version complétée, 1ère partie)
Grand François!
salut françois
cela m’a fait drole de lire tes jeux ,tu m’as formé au sluc de 71 à 75 ,on s’est ensuite croisé au bj je preparait l’ EIS
et j’ai fait les jeux aussi en 82 avec LE CANNET ROCHEVILLE
que de bons souvenirs !!
si tu lis ce message tu peux me joindre ; ce sera avec plaisir de parler du bon temps